Je n'ai pas de noirceur dans l'âme (si elle existe) ou alors uniquement de très profondes. De celles qui arrachent des cris tremblés, perforants ; qui transforment les mains en sarcloirs et force à tracer des sillon pour la fuite, dans les murs ou ailleurs - partout.
De ces noirceurs là qu'il faut taire, car le mot dit, elles vous submergent. Des pulsations accélérées, accélérant exponentiellement en valses tourbillon dans des tourmentes azotiques.
D'Azote. A-zoo-te.
De ces noirceurs là, sans terme ni à propos, qui vous laissent prostré, ainsi qu'un tout petit animal morfondu, s'auto-dévorant.
Assez de ces néants. Factices et inutiles.
Il ne sera pas question de cela ici - uniquement de ces tristesses douces qui glissent sur la peau et affleurent grises à la surface des mares, comme des nappes laiteuses qui étouffent toute appétence.
Ainsi qu'un voile sur le monde - estomaqué et les yeux ronds et idiots.
De ces noirceurs là qu'il faut taire, car le mot dit, elles vous submergent. Des pulsations accélérées, accélérant exponentiellement en valses tourbillon dans des tourmentes azotiques.
D'Azote. A-zoo-te.
De ces noirceurs là, sans terme ni à propos, qui vous laissent prostré, ainsi qu'un tout petit animal morfondu, s'auto-dévorant.
Assez de ces néants. Factices et inutiles.
Il ne sera pas question de cela ici - uniquement de ces tristesses douces qui glissent sur la peau et affleurent grises à la surface des mares, comme des nappes laiteuses qui étouffent toute appétence.
Ainsi qu'un voile sur le monde - estomaqué et les yeux ronds et idiots.
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