lundi 28 avril 2008

Arriver à Strasbourg

Apparue au milieu - et par - des lumières non-oraculaires, machinées, non-célestes ; simple et douce beauté, vibrante endormie - ronronnant.

Strasbourg émergea et grandit toujours plus certaine à mesure que l'autoroute nous y convoyait.

Le doigt de Dieu orangé, la phalange plantée - la flèche tendue - indubitable.

Nous filons, nous entrons. Le pas passé, nous voici... en son propre coeur battant ; en ses artères dégagées. Petits corps dans ce grand corps. Avalés et bénis. En notre capsule quasiment solitaires, roulant toujours plus avant, toujours plus proches du point de chute.

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